Une jeune femme poignardée au ventre pour avoir écouté du Justin Bieber

Une jeune femme a été blessée d’un coup de couteau au ventre par un homme qui voulait faire taire son téléphone portable. L’agression a eu lieu dans une rue de Paris a-t-on appris par une source policière.

En effet, vers 2 heures du matin, dans une rue étroite de Paris, une jeune femme marchait en regardant son téléphone portable, puis, une musique du chanteur Justin Bieber s’est alors déclenché, un homme passant dans la même rue lui demanda d’arrêter la musique, mais cela était impossible pour la jeune femme, la pression artérielle du jeune homme sûrement très alcoolisé ne faisait qu’accroître, elle témoigne « Une publicité s’est ouverte sur mon smartphone, impossible de la quitter, une personne m’a interpellé et m’a demandé d’arrêter ça, je ne pouvais rien faire, il croyait que je me moquais de lui. », c’est en effet le cas, le jeune homme croyant que l’on se moquait de lui, a sorti un couteau qu’il avait au préalable volé au kebab où il travaille et a poignardé la jeune femme sur le flanc droit avant de s’enfuir lâchement en trottinette, laissant la femme pour morte.

Après lecture des images de la caméra de vidéosurveillance présente sur les lieux, une première personne accourue vers la femme gisant au sol afin de lui voler son smartphone, puis, une seconde personne s’approcha de la jeune femme afin de lui voler ses chaussures de marque Kiabi.

C’est un gendarme en permission qui trouva la femme, totalement dénudée, sur le sol, la victime a été hospitalisée dans un état jugé sérieux, après l’agression, le vol de son smartphone, ses vêtements et ses chaussures, des jeunes sont venus lui assainir quelques coups de pied afin de faire une vidéo de type « Vine ».

Le pronostic vital n’est pas engagé, les séquelles sont malheureusement lourdes.

Au niveau de l’enquête, le jeune homme est actuellement en garde à vue, Monsieur Hollande souhaite le rencontrer personnellement afin de lui offrir une réduction de peine pour sa bravoure et son courage, néanmoins, c’est seulement après 28 heures d’enquête que les gendarmes ont compris que les plaques d’immatriculation étaient inexistantes sur les trottinettes.